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Mettez de la couleur dans vos questions

samedi, 14 novembre, 2009

Poser des questions est le meilleur moyen d’obtenir des informations. Mais toutes les questions ne donnent pas le même résultat.  Les questions perspicaces et profondes appellent des réponses pertinentes. Dans la vente, les bonnes questions fournissent de précieuses informations sur les besoins du client, ses désirs et ses préoccupations. Alors, comment posez des questions pour découvrir la réalité des faits, des opinions et des sentiments?


1) Faire évoluer votre question du général au particulier, de l’ouvert au fermé.

La première chose à garder à l’esprit lorsqu’on pose des questions est de commencer par des questions ouvertes, puis progressivement faire préciser en passant à des questions plus fermées, dès que vous cherchez des informations plus précises. Ce n’est que lorsque vous avez atteint d’une manière claire et quantifiée la réponse à une question précise que vous passez à la question suivante.

2) Poser des questions en couleur.

Je vous propose un moyen mnémotechnique pour mémoriser votre processus de questionnement

Il s’agit d’un moyen simple et facile à mémoriser une puissante série de questions qui vont à l’essentiel, des questions à haut potentiel qui vont directement découvrir un maximum d’informations, riche de faits, d’opinions et de sentiments.

Comment cela fonctionne-t-il?
Vous devez vous souvenir de deux choses:

1) ce que représente chaque couleur

2) Utiliser toujours les questions de la même couleur série – blanc, vert, noir et rouge.

Questions blanche

Question sur la situation actuelle. Faits, données et informations. Pensez au blanc de la neige: pur est le froid, dure réalité.

Exemple: « Comment décrivez-vous votre activité dans le secteur de l’environnement ? »

Questions verte

Quelle est la situation souhaitée, le futur état attendu ? Pensez à la pousse de l’herbe et des arbres, signe de croissance.

Exemple: « Si vous regardez vers l’avenir, comment voyez vous votre entreprise d’ici 12 mois? »

Questions noire

Identifier les obstacles, contraintes ou limites pour atteindre cet objectif.

Pensez à l’obscurité de la nuit qui vous empêche de voir loin.

Allumer la lumière pour découvrir ce qui se trouve entre vous (votre position actuelle), et là où vous voulez aller (votre situation souhaitée). Exemple: « Quels sont les principaux défis ou obstacles qui vous feront face pour y parvenir? »

Questions rouge

Identifier les motivations personnelles ou du groupe. Feu, le rouge rappelle le feu, l’explosion, fortement chargé d’émotion.

Exemple: « Si l’une de ces contraintes retarde votre progression par rapport au plan, quel serait l’impact pour vous et votre équipe? »

Une fois que vous avez obtenu des réponses à ces quatre questions, vous pouvez déterminer non seulement ce que vous pouvez vendre, mais surtout la façon de le vendre.

Tentez l’expérience en posant des questions en couleur lors de votre prochain entretien de clientèle. Vous découvrirez que vous gagnez des informations plus riches qui vous aideront à faire plus de ventes. Vous découvrirez également que vous serez perçu comme un interlocuteur compétent par vos clients.

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Mieux vendre par la justification du Retour Sur Investissement

samedi, 14 novembre, 2009

Comment justifier la rentabilité d’un investissement auprès de son client ?

Les techniques de Retour Sur Investissement (Return On Invest), couramment pratiquées par les anglo saxons sont souvent décriées dans la pensée latine. L’objet de cette lettre est de fournir quelques clés de lecture pour mieux les utiliser.

Pourquoi utiliser la technique du ROI

Quand vous évoquez la justification du ROI auprès de vos clients, vous rencontrez généralement une hostilité.  Doit-on comprendre que cette technique est inappropriée ?

Votre interlocuteur est rarement le décideur de la solution, mais bien souvent celui qui doit justifier son choix auprès de sa direction pour obtenir le financement à votre place. Ses réserves doivent être considérées comme un défi contradictoire. Si vous réussissez à le convaincre, alors il saura convaincre sa direction.
Bien des entreprises évaluent leur choix d’investissement en fonction de la rentabilité. Un retour sur investissement de 12 à 36 mois doit convaincre votre interlocuteur.


1 Comprendre les enjeux de votre client.


Intrinsèquement, votre solution ne justifie pas de ROI. C’est son application au contexte de votre client.

Quelle est sa mission, ses objectifs, sa stratégie, les implications de votre solution dans le projet, et comment la solution y contribue.


2 Qu’entend t’on par ROI ?


La justification du ROI n’a pas la même valeur selon l’interlocuteur auquel vous vous adressez.. Elle se décline selon 4 types de gains :Plus de profits, Plus de vente, Moins de coûts, Moins d’efforts.

Parler de valorisation d’action ou d’augmentation de chiffre d’affaire présente un intérêt pour un dirigeant, mais ne constitue pas un avantage déterminant pour un responsable de maintenance.

Chacun de ces paramètres se traduit en argent. La subtilité de la méthode vient de l’analyse de chacun de ces paramètres. Un exercice en vraie grandeur de votre contexte est nécessaire pour en tirer le meilleur profits

Lors de son séminaire, l’ITEV vous explique comment adapter votre calcul en fonction de votre interlocuteur.

3 Quels types de bénéfices
Les bénéfices estimés se traduisent selon 3 catégories :

Les gains financiers.

  • En quoi ma solution fait elle économiser par rapport à la solution existante ou à une solution alternative ?
  • Quels gains financiers puis je attendre de ma solution ?
  • Quelles sont les populations intéressées par ces types de gain ?

Les gains opérationnels.

  • En quoi la solution proposée réduit elle les risques et les coûts de production ?
  • Qu’entend t’on par risque opérationnel ?
  • Quels autres gains opérationnels puis je attendre de ma solution ?
  • Quelles sont les populations intéressées par ces types de gain ?

Les gains d’activité.

  • En quoi la solution permet t’elle de générer de nouvelles activités.
  • Comment les calculer et les justifier ?
  • Qui est concerné par ce type de gain ?

Comment l’ITEV peut vous aider ?

Les techniques de ROI restent un concept sans pratique sur des cas concrets. L’Institut des Techniques de Vente vous propose la mise en œuvre de ces techniques appliquées de façon approfondie à votre contexte lors d’un séminaire d’une journée.

Bonnes ventes !

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Comment évaluer la santé de vos comptes stratégiques

samedi, 14 novembre, 2009

Les temps changent. La rotation des équipes dirigeantes s’accélère et les stratégies des clients évoluent très vite.

Mais une constante demeure : Le capital le plus important des entreprises- avant même les ressources humaines- repose sur ses comptes stratégiques. Alors comment dans ce contexte développer son niveau de pénétration sur les bases installées?


Revisiter régulièrement le plan de ses comptes stratégiques est devenu un exercice incontournable.

Où commencer ?

70% de l’activité des entreprises est réalisée sur des comptes stratégiques.

La démarche d’un plan de compte approfondie portera sur les 3 à 5 premiers comptes de l’entreprise qui peuvent représenter jusqu’à 70% de l’activité. On privilégiera la qualité à la quantité, il est préférable de réaliser un plan de compte parfaitement que 25 de façon médiocre. Il peut-être opportun de se livrer au même exercice sur un compte potentiel que l’on souhaite voir devenir stratégique.

La première étape

consiste à comprendre la situation de compte. Quelle est sa mission, quels sont ses enjeux stratégiques, quels sont les facteurs clés de succès que cette entreprise rencontre pour réussir ses objectifs. Quels sont les grands chantiers qui vont conduire le développement. Quelles organisations seront concernées et quelles seront les conséquences pour mon réseau relationnel.

Il est vital de s’appuyer sur un faisceau de contacts afin de croiser les informations.

La seconde étape

consiste à définir la manière dont les solutions peuvent contribuer à réaliser les objectifs du client. La clé du succès du Plan de Compte n’est pas de chercher à vendre plus, mais de rechercher toutes les manières d’aider son client à réaliser ses objectifs.

La troisième étape

consiste à définir la matrice de nos forces et faiblesses dans ce compte. Quelles sont les opportunités profitables et quels sont les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir. Quel est le plan d’actions du responsable de compte, mais également de l’entreprise. Le plan d’actions concerne non seulement le commercial, mais implique également le management. L’objectif est de planifier des rencontres au plus haut niveau en définissant des objectifs. Le management dégagera 30% de son temps sur cette mission. Les affaires ne se faisant rarement de façon individuelle, on cherchera de  quelle manière l’écosystème peut contribuer à la réussite de nos objectifs.

Comment l’ITEV peut vous aidez ?

Cet exercice délicat impose un recul suffisant de la part des acteurs et tout particulièrement dans la phase d’initiation du processus. L’ITEV vous propose d’animer sur une session de 2 jours un atelier sur chaque compte stratégique. L’intervenant rompu aux techniques d’animation de compte vous apporte son regard de coach afin de construire l’approche la plus réaliste.

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7 règles d’or pour fidéliser ses clients

vendredi, 13 novembre, 2009

On dit que cela coûte 7 fois moins cher de garder un client que d’en acquérir un nouveau.
Mais comment faire ? Les commerciaux ont tendance à penser que le client est acquis dès la première vente et que tout est accompli pour renouveler ses besoins. Comment obtenir des ventes récurrentes sur vos bases installées ?

Voici quelques idées pour fidéliser vos clients.

Distinguer « Nouveau Client » et « Client Acquis ».

Une enquête réalisée auprès des utilisateurs montre que 46% des clients quittent leur fournisseur après la 1ere commande, 24% après la seconde, 14% après la 3eme et 12% après la 4eme. Un client est acquis non pas à la première commande mais après la 3eme commande. Un effort important doit être maintenu pour y parvenir.

Se concentrer sur la réactivité.

Les clients attendent une réponse immédiate. Si vous voulez conserver vos clients, fixer vous des normes de temps de réponse et respectez les.

Respecter ses engagements.

Rien ne refoule plus un client que le non respect de ses engagements. Si vous pensez que vous ne serez pas en mesure d’honorer vos promesses, dites le lui avant qu’il ne le découvre. « Dire ce que l’on fait et faire ce que l’on dit ». Mesurez régulièrement le respect de vos engagements au travers des enquêtes de satisfaction.

Aimer ses clients.

Un client est acquis non pas lorsque vous avez répondu à son besoin mais dès lors que vous avez crée une relation de confiance. Planifiez des visites régulières pour entretenir ses relations. Investiguez leurs préoccupations personnelles et les enjeux de leur service. Appelez les par leur prénom dès que vous le pouvez ; ils veulent faire des affaires avec des hommes, pas avec des entreprises.

Créer un esprit de service.

Déjà en 1986, dans leur livre Service compris, Philippe Bloch et Ralph Hababou donnaient l’alerte : « Les clients heureux font les entreprises gagnantes… » Onze ans plus tard, l’ouvrage n’a pas pris une ride. En revanche, ce qui a changé, c’est la perception du concept de service au profit de « Capital-client. » Le ton est donné : le client est une valeur. Comment l’attirer, le séduire et le fidéliser ? Le respect des engagements n’est pas seulement l’apanage du commercial. C’est toute l’entreprise qui doit se mettre au diapason du client : répondre avant 3 sonneries, être aimable, donner la bonne information ou rappeler dans un délai défini. Conserver ses clients est l’affaire de chacun (Accueil, devis, livraison, SAV…).

Honorez vos clients.

Invitez quelques clients à partager des moments de convivialités avec des prospects par exemple autour d’une opération Beaujolais, ou d’un week end à Marrakech. Vos clients seront vos meilleurs ambassadeurs. Faites vivre votre club utilisateurs et partagez les expériences de vos clients.

Créer une communication personnalisée.

Devenir intimes avec ses clients, créer des communautés de consommateurs pour en faire les avocats de votre entreprise, voila bien l’enjeu qui passe par la maîtrise de votre base de données, et une communication régulière avec vos clients soit au travers du web ou d’une lettre régulière.

Vous souhaitez monter un programme pour développer vos ventes sur votre base installée ? Alors contactez moi…

Bonnes Ventes !

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La hiérarchie des besoins de Maslow appliquée à la vente

vendredi, 13 novembre, 2009

Abraham H. MASLOW, grand spécialiste du comportement a hiérarchisé les besoins humains afin de définir les moteurs de nos motivations. Nous allons étudier comment l’évolution rapide de nos sociétés déplace progressivement le centre de motivation des décideurs, et comment appliquer ces théories à la vente.



Les besoins fondamentaux

Cette catégorie répond aux besoins immédiats  (Nourriture, chaud, froid, sommeil). Elle est très présente dans les situation de crise (cataclysme, guerre, crise économique, famine). Nos sociétés occidentales sont sorties depuis la seconde guerre mondiale de ces préoccupations. La qualité et le prix sont les éléments déterminants de la décision.

Besoin de sécurité.

Les sociétés occidentales privilégient le gain immédiat à une vision long terme. Les entreprises sont désormais sollicitées à de rapides  changements générateurs de stress. Les cadres sont plus inquiets de la sécurité de leur poste. Les managers sont contraint de participer au changement de leur environnement sous peine de disparition. L’acte d’achat pour faire évoluer une organisation est désormais inscrit dans une dynamique de conservation. La fiabilité est un paramètre essentiel dans la déciison.

Besoin d’appartenance

Les besoins primaires étant désormais satisfaits, les cadres recherchent la reconnaissance de leur environnement. Les grandes entreprises des années 90 dirigées par de grands leaders  s’appuyaient sur des signes de reconnaissances fortes, inscrites dans la continuité. Les organisations du 21eme siècle sont plus éphémères, aussi les décideurs d’aujourd’hui sont-ils plus sensibles au rayonnement extérieur à l’entreprise (testimonial, success story, rédactionnel, remise de prix dans un club d’utilisateurs). Ce sont désormais de puissants moteurs à faire valoir pour impliquer le décideur dans son choix. Quels sont vont référents dans des applications similaires auxquels votre clients pourra se comparer ?

Estime de soi

Le niveau de rémunération évolue peu depuis une décennie. Le revenu ne constitue plus un moteur de choix dans ses décisions. Par contre, la satisfaction d’être le moteur du progrès ou d’un changement majeur apporte à l’individu une satisfaction personnelle et la reconnaissance de ses pairs. Construire une œuvre, c’est acquérir de la compétence, c’est être reconnu pour ses mérites, c’est laisser une trace à la postérité. C’est un moteur fort pour impliquer les décideurs dans le processus de prise de décision. Comment votre produit peut concourir votre client à se différentier ?

Réalisation de soi

Le cadre du 21eme siècle qui réussit est un visionnaire. C’est un créateur qui sort des chemins battus. Par ses qualités naturelles de leadership,  il projette à son entourage de nouvelles voies d’amélioration du potentiel de ses équipes et de l’entreprise.

Détecter ces visionnaires ; ils seront pour vous de puissants moteurs pour vous aider à valoriser vos concepts novateurs dans les grandes entreprises. Quelle la proposition Unique de votre offre qui apporte de la valeur ?

Maslow nous rappelle que

  • Lorsqu’on s’approche de la satiété d’un besoin, la capacité de satisfaction de son pouvoir moteur diminue. Il faut alors rechercher la satisfaction de la couche supérieure.
  • L’incapacité d’un fournisseur à répondre à la couche adéquate crée une insatisfaction et agit comme un facteur de démobilisation par rapport à la proposition. Donc, pas de vente possible tant que le moteur de son prospect n’a pas été compris !

Et si nous travaillions ensemble sur la mise en application de ces concepts avec vos commerciaux ?

Bonnes Ventes !

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Plan d’Actions Commerciales

vendredi, 13 novembre, 2009

Le plan d’actions commerciales doit comprendre à la fois un développement de sa base et une extension soit dans le compte, soit en prospection.

Le plan d’actions commerciales doit comprendre à la fois un développement de sa base et une extension soit dans le compte, soit en prospection. Voici 2 stratégies à prévoir  dans votre plan d’actions commercial.

Elles vous permettront de capter des projets à haut niveau de marge et des extensions sur les clients existants. Ces stratégies sont déclinées par des tactiques d’approches (en italique dans le texte).

1.      Créer un programme de fidélisation de mes clients

  • Contacter chacun de mes clients existants au moins une fois par mois avec une nouvelle idée.
  • Créer un bulletin mensuel remarquable.
  • Créer un groupe d’utilisateurs de référence.
  • Créer des conférences (sur le web par exemple) pour mes clients existants.
  • Organiser un déjeuner mensuel avec  trois clients existants et inviter un prospect.

2. Prospecter dans ma base de clients.¶

  • Contacter au minimum 3 nouveaux contacts ou départements  chez chacun de mes clients existants.
  • Demander à chacun de mes clients existants de me recommander à une autre personne de son organisation, ou d’une autre organisation.¶
  • Rencontrer personnellement le cadre supérieur de chacune des organisations clientes.¶

Le Temps Présent est votre bien le plus précieux¶

Le plan d’actions doit détailler les étapes de chacune des tactiques.

Une planification du plan d’actions sur plusieurs semaines constitue un bon outil de coaching.

Une fois ce plan réalisé, ne le mettre surtout pas de coté, mais l’utiliser comme plan de route au quotidien.

Le succès réside dans sa capacité à dérouler le programme avec rigueur !

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Combien faut il vendre en plus en plus pour compenser une remise

vendredi, 13 novembre, 2009

Combien de pourcent faut-il vendre en plus si vous ne voulez pas gagner moins ?

Le tableau suivant vous aidera à faire comprendre à vos commerciaux l’impact de la remise sur leur chiffre d’affaire. Ceux qui octroient trop rapidement une remise devraient l’étudier attentivement.

Votre Marge Brute est de

Remise

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

40%

45%

50%

1%

25,0%

11,1%

7,1%

5,3%

4,2%

3,4%

2,9%

2,6%

2,3%

2,0%

2%

66,7%

25,0%

15,4%

11,1%

8,7%

7,1%

6,1%

5,3%

4,7%

4,2%

3%

150,0%

42,9%

25,0%

17,6%

13,6%

11,1%

9,4%

8,1%

7,1%

6,4%

4%

400,0%

66,7%

36,4%

25,0%

19,0%

15,4%

12,9%

11,1%

9,8%

8,7%

5%


100,0%

50,0%

33,3%

25,0%

20,0%

16,7%

14,3%

12,5%

11,1%

6%


150,0%

66,7%

42,9%

31,6%

25,0%

20,7%

17,6%

15,4%

13,6%

7%


233,3%

87,5%

53,8%

38,9%

30,4%

25,0%

21,2%

18,4%

16,3%

8%


400,0%

114,3%

66,7%

47,1%

36,4%

29,6%

25,0%

21,6%

19,0%

9%


900,0%

150,0%

81,8%

56,3%

42,9%

34,6%

29,0%

25,0%

22,0%

10%



200,0%

100,0%

66,7%

50,0%

40,0%

33,3%

28,6%

25,0%

11%



275,0%

122,2%

78,6%

57,9%

45,8%

37,9%

32,4%

28,2%

12%



400,0%

150,0%

92,3%

66,7%

52,2%

42,9%

36,4%

31,6%

13%



650,0%

185,7%

108,3%

76,5%

59,1%

48,1%

40,6%

35,1%

14%



1400,0%

233,3%

127,3%

87,5%

66,7%

53,8%

45,2%

38,9%

15%




300,0%

150,0%

100,0%

75,0%

60,0%

50,0%

42,9%

16%




400,0%

177,8%

114,3%

84,2%

66,7%

55,2%

47,1%

17%




566,7%

212,5%

130,8%

94,4%

73,9%

60,7%

51,5%

18%




900,0%

257,1%

150,0%

105,9%

81,8%

66,7%

56,3%

19%




1900,0%

316,7%

172,7%

118,8%

90,5%

73,1%

61,3%

20%





400,0%

200,0%

133,3%

100,0%

80,0%

66,7%

21%





525,0%

233,3%

150,0%

110,5%

87,5%

72,4%

22%





733,3%

275,0%

169,2%

122,2%

95,7%

78,6%

23%





1150,0%

328,6%

191,7%

135,3%

104,5%

85,2%

24%





2400,0%

400,0%

218,2%

150,0%

114,3%

92,3%

25%






500,0%

250,0%

166,7%

125,0%

100,0%

26%






650,0%

288,9%

185,7%

136,8%

108,3%

27%






900,0%

337,5%

207,7%

150,0%

117,4%

28%






1400,0%

400,0%

233,3%

164,7%

127,3%

29%






2900,0%

483,3%

263,6%

181,3%

138,1%

30%







600,0%

300,0%

200,0%

150,0%

Exemple : Votre marge brute après remise moyenne est de 15%.

Vous consentez une remise supplémentaire de 10%.

Pour gagner autant qu’avant, vous devrez augmenter vos ventes… de 200% !!!

Si votre marge brute (avant remise) est de 30%, vaut-il mieux vendre 1 million d’euros avec 15% de remise ou 3 million d’euros avec 25% de remise pour réaliser le même profit ?

Bien souvent, dans l’esprit du commercial, 10% de remise ne représente qu’une perte de 10% de chiffre d’affaire.

Bonnes Ventes !

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5 clés pour surmonter le «NON» du client

vendredi, 13 novembre, 2009

Celui qui n’a jamais surmonté le « NON » n’a jamais vendu !

Le non du client est une porte encore ouverte. Voici quelques clés pour garder le lien.

1 Utiliser l’humour.

C’est une  tactique pour désamorcer la tension déclenchée par un non et déplacer la conversation vers l’étape suivante.

Par exemple, répondre « Merci pour ce Non. C’est ce que j’entends toujours avant qu’on me dise Oui »…. Ou bien « C’est votre dernier mot ? ».

2-Poser toujours et encore des questions.

Demander toujours pourquoi encore et encore, jusqu’à en découvrir le sens caché.

Pourquoi avez vous besoin de mettre ce service en place ?…

Poser assez de questions pour que votre prospect puisse constater que vous voulez l’aider.

3-Énumérer toutes les incidences des bénéfices que vous offrez.

Si vous n’avez rien à mettre dans la liste, alors vous ne méritez pas cette vente. Pour faire n’importe quelle affaire, vous devez offrir plus de valeur que ce que vous vendez.

4-Demander à son prospect de n’acceptez un « NON» qu’après avoir écouté deux appels clients.

Vous ne pouvez pas toujours vaincre la résistance d’un prospect, alors aidez vous d’un tiers. Demandez lui d’appeler deux de vos clients qui vous ont dit « NON » également au début. Il sera certainement prêt à écouter un de vos clients.

5-Découvrir ce que le prospect achète et quels sont ses critères de décision.

Peut-être n’obtiendrez vous pas cette vente, mais en connaître les raisons c’est déjà se préparer pour une nouvelle vente. 
Bonnes ventes !

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7 clés pour vendre plus

vendredi, 13 novembre, 2009

yeux029Voici les atouts des meilleurs vendeurs que j’ai rencontrés. Maîtriser les et  vous ouvrez la porte vers de nouveaux succès.

Voici les atouts des meilleurs vendeurs que j’ai rencontrés. Maîtriser les et  vous ouvrez la porte vers de nouveaux succès.


1 Qualifier rapidement pour éviter de perdre du temps

Votre bien le plus précieux est le contrôle du temps et la façon de l’employer. L’objectif n’est pas de vendre à tout prix, mais d’identifier rapidement les opportunités les plus rentables et répondant le mieux à votre proposition de valeur.

Une des clés : Développer un profil des clients répondant à vos critères de vente et identifier tous les prospects similaires. Pouvons nous vous assister pour identifier simplement les meilleurs critères de sélection d’un projet ?

2 Créer la motivation

La tentation est grande de vouloir vendre à un prospect plutôt que l’amener à nous  acheter. Les produits Haute Technologie sont complexes, mais  offrent plus de valeur que des produits distribués par des magasins ou des catalogues. Les prospects ne savent pas qu’ils ont besoin de ces produits jusqu’à ce qu’ils découvrent d’abord qu’ils ont un besoin d’amélioration.

Les prospects deviennent motivés pour s’engager avec vous dès lors que vous les aidez à découvrir l’ampleur de leur besoin d’amélioration et que vous pouvez le résoudre mieux que n’importe qui  d’autre.

Une des clés : Comprendre quel besoin d’amélioration vous pouvez résoudre pour votre prospect. Pouvons nous vous aider  à disposer d’une méthode de questionnement efficace ?

3 Vendre en dehors de sa zone de confort.

Un des freins à la vente est de se limiter aux contacts lié à sa zone de compétence (acheteur, Directeur Informatique…)

Le vendeur à haut gain cherche à résoudre les besoins d’amélioration stratégiques de l’entreprise en cherchant le contact à haut niveau.

Une des clés : Etablir un modèle de communication adapté à chaque fonction de l’entreprise. Souhaitez vous entraîner  votre force commerciale à la vente au Top Niveau ?

4 Se faire un ami de la messagerie vocale

Il y a deux manières de développer ses ventes :

–          Augmenter le taux de conversion de projets

–          Augmenter le nombre de contacts. Un des freins à la prise de rendez vous est  à 70% le barrage de la messagerie vocale. Aussi est-il temps de s’en faire un ami.

Une des clés : Préparer 3 à 5 messages d’avantages distinctifs pour chaque appel que vous laisserez chaque quinzaine. L’un d’eux devrait finir par porter ses fruits. Souhaitez vous être accompagné dans la mise en œuvre de cette opération ?

5 Racontez une belle histoire

Nombreuses sont les présentations jugées indigestes par les prospects. Elles ventent généralement la taille de son entreprise, et la qualité de ses produits, et le prospect ne s’y reconnaît pas.

Les grandes présentations suscitent l’imagination du prospect. La meilleure manière d’impliquer l’imagination est de s’appuyer sur une « Success Story » proche du contexte du prospect. Les histoires riches en détails accrochent le prospect le liant ainsi à votre solution.

Une des clés : Étudiez vos 3 meilleurs clients et développez l’histoire détaillée des succès de vos clients, qui chargera ainsi la puissance émotionnelle à vos présentations.  Et si nous racontions ensemble une belle histoire ?

6 Gagner chaque engagement au lieu de tout perdre en demandant  trop

Brûler les étapes du processus de vente pour obtenir une décision de commande, trop tôt, c’est prendre le risque de tout perdre, ou de n’obtenir qu’une part réduite du marché.

Il faut au contraire  apprendre le pouvoir de demander des engagements successifs tout au long de votre cycle de ventes. Ce n’est pas chose facile à faire.

Une des clés : Pratiquer la demande d’engagements simples une fois que quelqu’un a exprimé une attente, un besoin, un malaise. Et si nous revisitions votre cycle de vente ?

7  Prendre plus de plaisir

La vente est amusement quand on attend la commande à l’issue d’une conclusion. Elle peut-être galère quand on la vit sous la pression trimestrielle.

Il faut savoir évacuer cette pression pour se concentrer sur une bonne qualification et faire monter la motivation du prospect.

Une des clés : Se concentrer sur la volonté d’aider le prospect à résoudre ses propres besoins d’amélioration, et la pression de la vente s’en ira d’elle-même. C’est ainsi que les meilleurs commerciaux prennent du plaisir en aidant leurs clients. Et si nous redynamisions votre force commerciale ?

Bonnes Ventes !

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Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

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Les 10 lois du succès de la vente

mercredi, 23 septembre, 2009

yeux_oeil_10Refaire sans cesse ses gammes.


1. Garder la bouche fermée et les oreilles ouvertes.

Cette règle est cruciale dans la première phase d’un nouvel entretien. Et souvenez vous :

  • Ne parlez pas de vous-même
  • Ne parlez pas de vos produits.
  • Ne parlez pas de vos services.

Et surtout, ne récitez votre leçon !
Bien entendu, vous devez vous présenter, mais inciter votre interlocuteur à parler de ses besoins et objectifs.

2. Vendre avec des questions, pas des réponses.

Se rappeler que Personne ne s’inquiète à quel point vous êtes important, aussi longtemps qu’il n’a pas compris combien vous lui êtes important. Oubliez la tentation « de vendre » son produit ou service, mais se concentrer avant tout sur le pourquoi il le voudrait. Pour y réussir, vous devez être fasciné par votre interlocuteur et lui poser beaucoup de questions dans le seul intérêt que de vouloir l’aider.

Il y a bien des années, j’ai connu un vendeur de CDs sur un marché. Cela ne m’a pas pris longtemps à comprendre que son travail n’était pas de vendre le CDs, mais d’obtenir l’écoute de chaque personne qui passait devant son stand !

A chaque fois qu’il essayait de vendre un CD, l’écoute des passants se fermait, et ils s’éloignaient.

Son travail consistait simplement à mettre l’écouteur sur leurs oreilles et les faire rentrer dans le monde de la musique. L’acte de vente consiste à lever les résistances !

3. Toujours considérer l’échange comme un nouveau contact.

Rester toujours curieux. S’enquérir des produits et des services qu’ils emploient déjà. En est-il satisfait? N’est ce pas trop cher, pas assez fiable, trop lent ? Découvrir ses objectifs, ses contraintes. Mais se rappeler toujours qu’il ne s’agit pas d’une étude de marché, mais d’un intérêt personnel de façon à obtenir des informations sur de ce qu’ils ont vraiment besoin.

Quand vous avez saisi qu’il faut cesser de persuader votre prospect aussi longtemps que vous n’avez pas compris ce qu’il désire, alors vous aurez acquis sa confiance.